Voila la suite.
Avant-propos : Tout au loin de ce machin, les profils des divers personnages seront présentés au fur et à mesure de cette histoire à la con.- Spoiler:
Nom : Diog X
Age : X
Groupe Sanguin : X
J'ai passé ma vie à fuir. Je suis un fuyard. Un lâche. L'adversité me fait peur. Je crains la concurrence. Et pourtant, j'aime être excité. J'aime le danger. J'aime boire du lait périmé, jouer à la pétanque avec les pieds, me baigner a côté de la décharge publique, regarder Arte...Pourtant, mon travail n'est absolument pas lié au danger. Au contraire. J'aurais aimé être dompteur de lions, provoquer ces bêtes sauvages à coups de fouet, clak, clak... Jusqu'au jour de mon entretien d'orientation où on m'a conseillé d'être comptable. Et me voila.
Pourtant, a Christmas Conte à décidé de me changer la vie. et pour ça, je l'en remercie.
Chapitre 1
Un matin comme les autre. Diog se réveille de son lourd sommeil, les cheveux ébouriffés, un goût de morve au fond de la bouche... Le même rituel depuis maintenant 20 ans. Après avoir déjeuné les restes d'hier soir, s'être lavé avec de l'eau froide et s'être habillé de son éternel costume poussiéreux, il part au travail au volant de sa Renault 19 de 88 couleur marron-merde. Il se gare au parking, et entre dans l'établissement carré de la World Capital Bank Company.Diog : Bonjour.
Hôtesse d'accueil : Bonjour, Mr.Diog X.
Il partait en direction de l'ascenseur afin de rejoindre le 28eme étage. Sa zone de travail était composé d'un bureau principal, le sien, et d'une autre salle annexe où deux assistants (Lounds et Pollards) surveillent les chiffres de la section E.Diog : Salut les gars.
Lounds : Salut Diog.
Pollards : T'étais pas censé être malade aujourd'hui ?
Diog : Non.
Pollards : Ca valait bien la peine de cracher dans ton café. Zut.
Diog : Bon, je vais dans mon...
Lounds : Pollards à sauté ta mère.
Diog : ...Hein ?
Pollards : Hé oh, c'est moi qui devait le dire sale enfoiré.
Diog : Et pourquoi as tu fais ça ?
Pollards : Hier je suis allé à la discothèque et je l'ai vu au bar en train de s'envoyer des vodka martini jusqu'à ce qu'elle vomisse par terre et me saute dessus. TA MERE EST UNE GROSSE CHAUDASSE.
Lounds : Et il à prit des photos.
Lounds sortait des photos de son tiroir.Pollards : Qu'est-ce qu'elles foutent dans ton tiroir ?
Lounds : J'ai une vie incroyablement vide et triste.
Diog : Qu'est-ce que c'est que cette photo ?
Lounds : Ah, elle est à l'envers, suffit de la retourner et...
Diog : Oh non c'est bon tout compte fait je la préférait à l'envers. Mais tu t'étais senti obligé de la sauter, toi ?
Pollards : C'était ça ou tuer chaque membre de ta famille à coup de clavier. J'ai préféré faire ça. Et d'abord, qu'est-ce qu'elle foutait dans une discothèque ? J'arrête pas d'insulter toutes les femmes que tu connais de trainées et pourtant.
Diog : Je suis née d'une portée de quadruplés.
Pollards : Et ?
Diog : Et on était un bébé blanc, moi, noir, asiatique et indien. Et d'ailleurs, qu'est-ce que tu vas faire si elle tombe enceinte ?
Pollards : ...
Lounds : Bon moi je me remet a bosser hein parce que bon.
Diog : Et moi je retourne dans mon bureau.
Pollards : Et moi je vais sauter de la fenêtre.
J'ouvris la porte de mon bureau, entendis le téléphone sonner et le décrocha.Diog : Diog X, Section E, j'écoute.
C'était l'hôtesse d'accueil au téléphone.Hôtesses d'accueil : Le Patron demande à vous voir.
Diog : Qu'est-ce qu'Il veut ?
Hôtesse d'accueil : Je ne sais pas. Il veut juste vous voir.
Diog : Très bien. Dites Lui que j'arrive.
Il raccrocha et sorti de son bureau en direction de l'ascenseur.Diog : Je dois aller voir le Patron.
Lounds : Qu'est-ce qu'Il te veut ?
Diog : Je ne sais pas.
Il entra ainsi dans l'ascenseur et appuya sur le bouton poussiéreux car rarement utilisé du 66eme étage. Après être arrivé à destination, la porte s'ouvrit, montrant ainsi l'imposante antichambre du Patron. Le plafond était anormalement haut. Diog se demandait comment pouvait-on faire rentrer une pièce aussi grande dans un gratte-ciel aussi étroit. Devant lui s'élevait une porte en marbre aux dimensions démesurées. A gauche, un petit pupitre faisait basse impression. Une secrétaire était assis derrière.Secrètaire : Mr.Diog X, je présume ?
Diog : En effet.
Secrétaire : Mr. Le Patron demande à vous voir... Vous pouvez entrer dans Son bureau.
Diog : Merci.
Il marchait en direction de l'imposante porte. Après être resté planté devant pendant au moins deux minutes, il essaya de pousser la porte afin de pourvoir entrer. Après moult efforts, il réussit à pénétrer dans le bureau.Diog : Bonjour...
Le bureau était sombre. Très sombre. En d'autres termes, on y voyait que dalle. Seulement le reflet de deux cercles qui semblaient être une paire de lunettes.Patron : Mr. Diog X, je présume ?
Diog : Franchement, je commence à douter de ma véritable identité.
Soudain, la salle s'éclaircit. Un gigantesque néon éclairait maintenant la pièce. Diog pouvait maintenant observer le Patron. Il leva la tête et Le vit, à plus d'une dizaine de mètres de hauteur, assis sur une chaise soutenue par quatre fils en nylon. C'était un personnage assez petit, aux lunettes rondes, au nez long, coiffé d'un haut de forme démesurément grand.Patron : Avons nous déjà été rencontrés, Mr.Diog ?
Diog : Non, c'est nous étions nous déjà rencontrés plutôt
Patron: Nan, c'est avons nous...C'est nous avons dé...
Diog : Nous avons...Nous avons déjà été...
Patron : Nous sommes nous déjà recontr...
Diog : Non, avons nous étions déj...Avions nous...
Patron : Rah, et merde, tout le monde s'en fout, personne ne parle comme ça de nos jours. Est-ce qu'on s'est déjà rencontrés, Mr.Diog ?
Diog : Je ne crois pas.
Soudain, un des fils soutenant la chaise se casse, et le Patron fait une chute vertigineuse sur le bureau, le cassant en deux.- INTERLUDE METTANT EN SCENE L'AUTEUR DE CE MACHIN ET UN AUTRE PERSONNAGE ANONYME. VOUS SAVEZ, CE GENRE DE PROCEDE FREQUEMMENT UTILISE DANS LES FICTIONS D'HUMOUR POUR MONTRER QUE L'AUTEUR EST UN ABRUTI QUI SAIT RIRE DE LUI MEME ET QUI ECRIT DES ANERIES TOUT EN ETANT FIER DE CE QU'IL FAIT. LA ON A A FAIRE A UNE SCENE D'HUMOUR BURLESQUE QUI SE PRÊTE MAL AU TON GENERAL DE CETTE FICTION. DONC, L'AUTEUR VA DIRE QUE C'EST DE LA MERDE. OUI OUI, CA MARCHE COMME CA. CROYEZ LE. mais pourquoi j'écris en gros ? -
Auteur : ...Est-ce que j'ai vraiment besoin de commenter ça ?
Hitler : Ta gueule
Patron : Aïe...Aïe...J'ai mal...Je sens que...Je meurs...
Diog : Je peux rester avec votre haut de forme ?
Patron : Ha ha. Je plaisantais. Je ne meurs pas.
Le Patron se relève.Diog : Ah.
Patron : Oui, je suis déjà mort.
Diog : Aaah.
Patron : Et vous êtes viré.
Diog : Oh.